Je suis pourtant quelqu’un de sociable et de facile à vivre, mais mes soucis de santé sont un véritable enfer pour moi et pour tous ceux qui me côtoient. À chaque échec, le désespoir me gagne un peu plus. J’ai le cœur gros, mais me laisser aller à l’émotion m’est interdit. C’est trop dangereux. Je dois continuer d’avancer quoi qu’il arrive, pas après pas, avec force et conviction, même si je n’en peux plus. Ma vie ressemble à des sables mouvants. Paniquer ou s’arrêter c’est mourir.