Citations de Céline E. Nicolas (161)
Cette femme, aussi poissarde que généreuse, est devenue le centre de mon quotidien. Une nécessité vitale. Un bordel indispensable.
Les combats les plus durs ne sont pas forcément les plus spectaculaires vus de l extérieur. Il n'existe aucun adversaire plus difficile à vaincre que soi-même.
J'ai compris que la seule personne qui pourrait faire mon bonheur, c'est moi. C'est à partir de là que j'ai choisi d'être heureuse chaque jour.
Je suis trop romantique, la vraie vie ça n'est pas ça. Le monde réel ce sont des claques dans la figure, des rêves brisés par milliers et des destins piétinés.
Cette histoire, avec Kalie, m aura appris que l'on peut décider d'être heureux. Il est temps pour moi de prendre mon bonheur en main !
Là, c est sûr, ce qui me fait partir en sucette c est la frustration. Comme je ne peux pas l avoir, j'en ai d'autant plus envie.
Que la psychologie humaine est cruelle !
Ses yeux pétillants cherchent les miens, la réponse de mon pote la ravit et lui donne encore plus de charme. C’est fou comme sa simple présence illumine une pièce, ou plus précisément dans le cas présent, un pas de porte.
J’aime bien me préparer de bons petits repas. Au départ, c’est mon psy qui m’a poussé à trouver de nouvelles sources de plaisir et je dois avouer que confectionner des plats sains et équilibrés, c’est vachement satisfaisant.
Elle est restée là, sans rien attendre de moi, m’offrant juste un peu de sa présence et sa joie de vivre. Il faut dire que cette fille est un sacré phénomène, elle sourit tout le temps, s’émerveille de tout et croque la vie à pleines dents.
Le destin c’est de ne pas savoir ce qu’il va arriver.
Elle se contente de m’offrir un sourire. Pour moi, ça veut dire que je n’ai rien à craindre, car elle sera toujours près de moi. Alors, ça me rassure un peu. Parce que la partition de ma vie n’est plus un long solo, mais un duo où chaque note complète l’autre, même dans la dissonance.
Gaston Cupidon, créateur de bonheur ! Bisou ?
Je me concentre sur ce que je dois faire afin de ne pas imaginer le pire. Rester focalisée et avancer un pas après l'autre. Espérer que tout va bien se passer et faire au mieux avec ce que j'ai. Voilà le bon chemin.
Elle me disait « nos vies sont comme ces billes de bubble tea, c’est seulement une fois qu’on a touché le fond qu’on peut remonter à la surface ».
Son sourire est comme une bouée de sauvetage dans l’océan de noirceur qui tente de m’engloutir. Il me fait du bien et me donne la force de garder la tête hors de l’eau.
Il n’existe aucun adversaire plus difficile à vaincre que soi-même.
Cette fille a le don de remuer mes émotions dans tous les sens.
En réalité, les bubble teas au lait ne plaisent pas trop par chez nous, et franchement, les perles de tapioca, c’est juste un enfer à gérer dans un établissement. On ne va pas se mentir, ce sont des trucs tout mous et gluants. Là, c’est très différent. Ce sont des perles de fruits qui explosent en bouche ! Tu vas voir, c’est bien meilleur.
Mon instinct me hurle de m’enfuir, de me cacher, de me mettre à l’abri. L’adrénaline coule dans mes veines et tend tous mes muscles pour que je puisse prendre mes jambes à mon cou, sauf que le seul danger, ici, c’est un pauvre gosse d’à peine seize ans, au moins aussi effrayé que moi.
Dans ce monde virtuel, je me sens bien. Tout est écrit, il n’y a pas de surprise. Si un truc ne marche pas, c’est parce que j’ai commis une erreur et ici, elles peuvent toutes être réparées.