« Il faut savoir soulever, de temps en temps, les voiles que la nostalgie a posés sur le passé pour mieux appréhender les inconnus que nos lendemains présagent. » (p. 46)
« Quelqu’un vous aime et ce quelqu’un c’est moi. Joli message, belle envolée mais, en retour, rien que de lointains sourires tristes. » (p. 21)
« Dans la souffrance de mon inconséquence, je me cache au fond du lit pour laisser couler mes larmes d’amertume. » (p. 101)
« Les seules choses qui me tiennent chaud désormais sont mes larmes quand je ne peux plus les retenir. » (p. 50)
Il est des instants de l’existence qui sont gravés dans le marbre de nos essentiels. Notre mémoire pourrait disparaître que ces instants-là existeraient encore en nous. Les vibrations de leurs souvenirs sont éternelles et rien ni personne ne peut les faire taire
C’est surprenant comme les endroits que l’on côtoie peuvent se montrer sous des jours différents selon nos humeurs, nos passions du moment. Comme un tableau aux couleurs incertaines qui changeraient en fonction des bruits du coeur.
Je n’arrive plus à retrouver le chemin qui mène à moi. Je me suis essoufflée à courir après un fantôme, à rêver de chimères, à me perdre pour oublier ce que je savais si bien.