«Pourquoi partiriez-vous, chère Nelly? Je sais que vous ne seriez
pas heureuse si vous appreniez que nous pleurons à cause de votre
perte. Ils disent que Willy est maintenant dans le ciel, où l'été
dure toujours, et cependant je suis sûr qu'il s'afflige, quand je
me couche sur son lit de gazon, de ne pouvoir revenir
m'embrasser.»