[…] et prenant dans ses bras ma petite tête frisée, elle la serra de toutes ses forces. Je dis de toutes ses forces, parce que comme elle était très-grasse, une ou deux des agrafes de sa robe sautaient chaque fois qu’elle se livrait à un exercice un peu violent. Or, je me rappelle qu’au moment où elle me serra dans ses bras, j’entendis deux agrafes craquer et s’élancer à l’autre bout de la chambre.