Comme toujours, on a parlé du passé, du présent, et fort peu de l’avenir, car pour la plupart, l’avenir est immuablement fixé et se réduit à une ascension lente dans la hiérarchie des emplois et des salaires. La poésie est derrière nous, mussée au creux de ces années où l’on se battait avec la conviction de devoir tout changer. Le temps des illusions…