J'ai lu l'oeuvre de Camus avec ferveur, avidité. Chaque fois que je reviens à elle, elle m'émeut, me donne de l'énergie, exalte le meilleur de moi-même. En fait, elle est mêlée à ma substance, de sorte que je ne sais si elle m'a ou non influencé. Je peux seulement dire qu'elle m'a longuement nourri. (p. 32)
Paris, 2013