Mais l'homme dont la vie est réglée et l'esprit rationnel ne désespère jamais. Il perd ce qui lui appartient - ce coup de fouet l'atteint -, il chancelle un instant, mais son énergie, fouettée par la brûlure, s'emploie bientôt à chercher un remède ; l'action ne tarde pas à atténuer le regret. La maladie l'affecte, il prend son mal en patience, supporte ce qu'il ne peut guérir. Un douleur atroce le torture, ses membres contorsionnés ne savent où trouver le repos, il s'accroche à l'ancre de l'Espérance.