Daberlohn fréquente les gens depuis assez longtemps pour savoir que les efforts intellectuels et pédagogiques puisés au fond de soi ne sont presque jamais reconnus à la mesure de la peine et de la concentration gigantesques qu'ils requièrent. Comme lui-même le dit : «On se donne un mal fou pour les gaver, après quoi ils s'imaginent que c'est venu tout seul.»