À l’époque, c’était une première mondiale, tout comme le KGB (« Kerberos glotzt blöde – Le Cerbère a l’air crétin », sarcasme favori de Reinhard Gehlen), qui n’était encore qu’un jeune chiot joueur et portait, en ce temps-là, un nom différent, mais commençait à devenir ce que nous connaissons aujourd’hui : un monstre aux aboiements métalliques et au souffle mortel, doté de cent têtes et d’une queue de serpent qui n’était autre que moi.