Elle ne voyait aucune frontière entre les sentiments et les pensées, le sexe et la philosophie. Par conséquent, ses écrits étaient surtout lus dans le monde de l’art où elle attirait à elle un petit groupe d’admirateurs dévoués : des garçons souffrant d’Asperger, des filles qui avaient été hospitalisées pour maladies mentales, des chargés de cours qui n’obtenaient pas leur titularisation, des danseuses érotiques, des adeptes de la scarification, des putes.