Seul un problème revenait de manière inévitable.
La faim.
Elle était assouvie et atténuée dans un premier temps, le temps que le parasite aspire toute cette avalanche de protéines et de nutriments, mais lorsque cette sorte de sangsue s’était sustentée... Alors ses ventouses pinçaient de nouveau la paroi intestinale avec une vigueur déconcertante et la faim...
Elle réapparaissait...
Insolente, cruelle et pernicieuse.