Un recueil de nouvelles et novelas à la qualité inégale, comme souvent avec ce genre de publication. La première nouvelle qui sert d'introduction au roman Scars, est particulièrement laborieuse avec ses 140 pages qui n'apportent pas grand chose si ce n'est "compléter" l'histoire déjà racontée dans le 28e roman de l'Hérésie d'Horus.
Le reste est un ensemble de nouvelles et de novelas qui servent plus d'histoires d'ambiance qu'à faire progresser la trame générale. Beaucoup sont issues des audiodrama de la Black Library, et la plupart sont sympathiques à lire.
Un volume pas forcément indispensable, qui n'apporte pas grand chose mais se laisse lire sans aucun problème une fois passé le premier quart.
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Le 28e tome de l'Hérésie d'Horus, où apparaissent pour la "première" fois les White Scars, grands oubliés de la série jusqu'ici.
Avec ses 475 pages en édition originale, on peut évidemment s'attendre au schéma classique de la Black Library, avec 200 pages "introductives", 150 pages de développements, et le reste en dénouement/action pure. Et Scars ne déroge pas à la règle, même si pour une fois, l'action se cherche un peu...
Il faut dire que la construction du roman n'est pas aidée par une profusion de personnages et de seconds couteaux. Si j'ai beaucoup aimé la dichotomie Torghun / Shiba, j'avoue ne pas comprendre ce que vient faire dans ce livre l'arc Yesugei, qui ne participe jamais à quoi que ce soit de la trame principale. C'est, clairement, une novella rapportée dans le roman pour l'épaissir, et ça m'a honnêtement barbé, parce qu'à force on s'y perd sur qui fait quoi et où.
Si le roman nous balade depuis Chogoris jusqu'à Prospero, en passant par Ullanor, j'ai trouvé qu'il manquait un petit quelque chose mal dissimulé sous l'orgie de personnages, de primarques et de légions (pensez donc, on a des Scars, des Word Bearers, des Space Wolves, des Alpha Legion, et même quelques Salamanders, un Iron Hand, un Thousand Sons, et des Death Guard...). Ce que Chris Wraight a développé sur 475 pages pouvait en réalité tenir en 3 novellas de moins de 100 pages.
En clair, je me suis ennuyé, malgré qu'en soi, le roman Scars ne soit pas mauvais. Il part simplement trop dans tous les sens, se contente d'assimiler les Scars à "ils vont vite" et "sont indépendants", et c'est à peu près tout.
Un petit ratage avant le grand Vengeful Spirit, sans grande conséquence.
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Une bonne lecture qui peut se faire en plusieurs fois puisqu'il s'agit de nouvelles. Parfois courtes ou plus longues, elles permettent de nous immerger dans des univers différents de la licence Warhammer. J'ai eu du mal avec quelques unes pour lesquelles l'univers m'attirait moins mais j'ai dans l'ensemble apprécié cette lecture simple et rapide. Elle nous donne envie d'approfondir nos connaissances des univers et c'est assez plaisant.
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Sur le monde relique de Ras Shakeh, les Space Wolves viennent à l'aide des Soeurs de bataille contre les redoutés adeptes de Nurgle.
Un roman intéressant sur plusieurs points. Tout d'abord, l'intrigue. Même si elle n'est pas originale en tant que telle, elle amorce une suite qui se révèle promettteuse.
Ensuite, les relations entre les protagonistes. M. Wraight met très bien en scène la dynamique de la meute, le retour d'un membre parti 50 ans dans la Deathwatch et qui doit reprendre son ancienne vie... Avec tout ce que cela implique pour un chapitre tel que les Root.
A lire principalement donc pour les relations entre les membres du Vlaka Fenryka, et un début d'intrigue prometteuse.
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