Des marchands de bonheur prospéraient sur le malheur des contemporains. La grande dépression attirait les vautours. Psychiatres, médecins, neuropsychiatres : les morticoles occupaient l’espace. Pareils à ces parfums d’intérieur que l’on avait mis dans les toilettes, puis dans tous les coins des maisons. Ils nous donnaient des recettes pour vivre « heureux », « contents », pour guérir du stress.