Prendre Moscou, c’était tuer le moral de l’Union soviétique.
Prendre Kiev, c’était mettre à genou son économie.
Hitler avait les cartes en main et pouvait choisir, ses hommes suivraient. Après Minsk, il venait de faire tomber Smolensk et, déjà, ses troupes se réorganisaient. Ses généraux seraient prêts dans un jour ou deux et il pourrait alors faire redémarrer ses divisions.