Eh oui ! Le prolétaire culturel qui a voulu échapper à son médiocre milieu est bien puni : en écrivant des livres, il a contracté une maladie de bourgeois. Voilà ce que c'est : quand un fils de pauvre respire des vapeurs proustiennes, il fait une dépression. (...)
Voilà ce qui arrive lorsqu'on veut poèter plus haut que son luth des classes ! (p. 24)