- Voilà, ici, c'était la chambre de ton père.
Je découvre un endroit spacieux, clair. Les murs passés à la chaux doivent par plein matin recueillir le levant. (...)
Je ne sais pas ce qu'il savait et quoi habitait ses rêves, mais je le vois sur son lit, écoutant les bruits d'un lent crépuscule et s'y inventant son chant grégorien, affûtant un dernier outil pour demain reprendre le travail. (p. 50)