Chaplin prit la parole, déclarant que la Chine ne pouvait être pacifiée que par l'élimination totale des innombrables warlords, les communistes n'avaient pas la moindre chance, seul le Japon était encore à même de se rendre maître de la situation d'anarchie qui s'était emparée d'une large partie de l'Asie.