On disait en Solkstrand que le hartl était juste parce qu'il frappait avec une égale sévérité tous les prévenus, les puissants comme les humbles. On aurait tout aussi bien pu dire qu'il était injuste, parce qu'implacable avec tout le monde. Sauf qu'il aurait été imprudent de le taxer de cruauté. ( p. 73)