Si un vandale avait essayé de graver un texte ou un dessin obscène, il ne se serait pas amusé à tracer de longues lignes rigoureusement parallèles. Quant à une mauvaise manipulation de l’équipe de maintenance ou de nettoyage de la compagnie aérienne, Jo en doutait. Il ne connaissait aucun outil capable de laisser ce genre d’empreintes. Restait la police, chargée de recueillir les débris après l’écrasement. Toutefois, là encore, cela ne collait pas. En fait, plus il regardait les striures, plus il y voyait une marque de griffes animale.