Une promotion aussi vigoureuse, appuyée par les références au Patrimoine mondial de l'humanité, à pour conséquence de détériorer l'image du voyage pédestre à Compostelle, ou de ¨déflorer la poésie du chemin" ! Ce n'est pas la première fois que l’industriel tendrait à tuer l'artisan, tout en développant l'emploi.
On peut en tirer la conclusion que, si la communication met en avant le marcheur et le mythe qui lui est attaché, c'est le touriste arrivé en moyen de transport mécanique qui intéresse la ville, d'autant que ses dépenses individuelles sont sensiblement plus importantes.