Tout au long, des bancs, subtilement disposés pour que le promeneur jouisse, à travers les branches, d’entrevisions sur la mer. Ils sont redoutables pour le marcheur qui s’y attarde un peu trop, pris par ses pensées, absorbé par le plaisir d’être simplement là, posé, sans autre projet que de respirer et d’habiter pleinement les secondes qui passent.