Si la colère avait un goût, la médiocrité avait une odeur. L’absence d’espoir, aussi. Reconnaissable entre toutes. Lourde. Poisseuse. Un jour, elle vous enveloppait et ne vous lâchait plus. Et tout était fini. Cette saleté sortait de chaque pore de votre peau, imprégnait vos vêtements, vous marquait à jamais.