Un pas en arrière pour contempler l’œuvre presque achevée. Presque parfaite. Rayonnante. Sauvée, pour toujours, des injures du temps, de la vie laide et triviale qui maltraite, abîme, corrompt. Interrompre ce flux souillé à l’instant du plein épanouissement de la vie, là était le secret. Pour préserver le miracle, le faire durer.