« Il est vrai que certains l’ont blâmée — et ç’eût été à bon droit si elle eût été de notre foi — d’avoir pris pour époux le fils qu’elle avait eu de son mari Ninus. Ce fut certes là une grande faute, mais comme il n’y avait pas encore de lois écrites, on peut l’en excuser quelque peu ; les gens ne connaissaient en effet d’autres lois que celles de la Nature, et il était loisible à chacun de suivre son bon plaisir sans commettre de péché. »