Alexandre Jollien
Depuis, face aux moqueries, à la critique ou à une mauvaise nouvelle, j'essaie de considérer les mots qui me blessent comme de simples sons, inoffensifs en soi. Pourquoi leur donner autant de force ? A quoi bon leur conférer le pouvoir de détruire la joie ? Laisser passer ces sons, ce vent, voilà le défi.