Les hommes ont perdu la nature. C’est triste. L’arbre est vivant, comme les animaux ou les insectes. Comme nous. Une panoplie bizarrement liée.
Et puis il y a l’ignorance et la bêtise.
La nature ? Un mot que les gens n’aiment pas. Je l’emploi un peu mais je préfère parler du vivant : alors ils font attention. Le vivant, c’est nous. (Page 116)