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Citation de collectifpolar


Hilarion imaginait mal de se voir poudré, habillé et suivi par un serviteur qui ne soit plus ce Parisien bavard et malin, tendre comme une demoiselle dès qu’il surprenait la tristesse de son maître ou devinait ses colères froides. Louis n’était plus là. Il devait toutefois le remplacer : ses perruques avaient été poudrées avec un savoir-faire qui manquait à tous ceux à qui il confiait la responsabilité de cette délicate et subtile opération. Et, surtout, il réfléchissait mieux et plus vite en présence d’un interlocuteur. Il en aviserait la marquise ou bien même Lebrest.
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