Il avait l'habitude de gérer les fous. Il n'avait jamais tenté de leur faire reprendre pied dans la réalité. Chacun son rôle. Il laissait aux médecins le soin de traiter les différentes pathologies qui obscurcissaient les esprits plus faibles, sans jamais se moquer de ces détraqués mentaux, à la différence de certains de ses collègues qui ne se gênaient pas pour le faire.