Les Afghans sont-ils condamnés à être toujours les maudits du monde ? Ce monde m’écœure et me rend triste, comme cette tristesse d'avoir perdu un ami, un frère de courage et d'absolu dont je respectais le combat et que je n'oublierai jamais. (Extrait de la postface de la réédition de septembre 2001, écrite juste après l'assassinat de Massoud et les attentats du 11 septembre aux États-Unis)