En dépit de notre expension […] je continuais à m’occuper des abeilles. Il me faisait confiance. Il prétendait que j’avais une sensibilité particulière, que je comprenais leur rythme et leurs moeurs. Il avait raison. J’avais appris à les écouter et je leur parlais comme si elles formaient un seul organisme doté d’un coeur battant.