Ces quatre fenêtres en plexiglas qui m’entourent ne me laissent pas tranquille. On dirait deux paires d’yeux qui m’observent. J’ai l’impression d’être exposée à un extérieur que je ne maîtrise pas. Je baisse les stores, inutiles pour me protéger, mais au moins je ne vois plus le noir de la nuit dans lequel les dangers aiment s’inviter.