Depuis qu'Hortense n'est plus là, il veut qu'on forme un socle, ces fondations dont je parlais à Hortense, petite, quand je lui disais que toutes deux on fabriquait une petite chapelle où on s'abriterait toute notre vie. Chaque câlin donnait une pierre, chaque ploum du ciment, chaque dispute une poutre, chaque regard un vitrail, et chaque baiser une note d'orgue.