Ce n'est plus Anna qui parle, c'est bien moi. Je pense à Émilie qui m'a juré qu'on ne mettrait pas maman en prison, à octave qui m'a juré que Mondjo m'avait raconté qu'il se tuerait seulement pour que je me taise. Maman me croit. Maman ne doute jamais de moi.
(Pages 181 et 182)