Passent dans le ciel,dans le ciel oui puisque je lève la tête pour les capter de fugitives, trop,violentes musiques entrées en moi sournoisement le matin; mon sang les a charriées tout le jour à mon insu,trimbalées de métro en vestiaire planning bureau, trimbalées ,oubliées et parce que d'avaler gloutonnement la nuit à grosses bouchées j'ai grandi jusqu'au toit des maisons-ma tête bientôt touchera le ciel- (p.44)