Il ne peut rester dans la forêt avec ce tas de cicatrices cousues et les restes d’une enfance trop lourde à manœuvrer. Et il y a tant d’éléments qui lui sont impossibles à nommer, il ne saurait pas par où commencer.
Il a besoin de vent haut, de marées régulières, surtout il doit apprendre à vivre.