Chaque fois que ça m'arrivait, je m'excusais. Je disais que c'était "arrivé comme ça", sans prévenir, que je n'avais pas pu m'en empêcher. Je me déteste aujourd'hui d'avoir débité tous ces mensonges. Je savais exactement ce que je faisais. Et après cette première fois, quel que fût mon degré d' ébriété et de colère, j'ai toujours fait en sorte que les bleus ne se voient pas.