Il y a mourir et mourir, et la mort de ceux qui se changent en ancêtres n'est pas une mort réelle.
Autre mort est celle des révoltés qui ne se sont souciés ni d'être les fils de leurs pères, ni d'être les pères de leurs fils, et dont toute la vie n'est en conséquence, inéluctablement, qu'une longue marche funèbre anticipée ...