J’ai tant nié que l’amour soit une puissance, une force, une douceur ! Je me suis si souvent moqué des amoureux, de l’excès de leur sensiblerie ! J’ai raillé les romantiques, les fanatiques de littérature ! J’ai refusé de croire aux irrésistibles attirances qui font, de deux êtres qui se sont choisis, une même âme, un même corps ! Je méritais d’être châtié.