Quel était donc le prochain geste ? Et surtout pourquoi le poser ? La solitude lui tomba dessus comme une bête sur sa proie. Ce n’était plus la souffrance qui l’habitait, ce n’était plus l’absence de Denis qui la chagrinait, c’était le vide. Le vide de son lit. Le vide de sa vie de femme. Une haute falaise. Elle eut peur de vaciller.