«(... ) elle ne se souciait même plus d’être entendue et encore moins de ce minimum de cohérence qu’il est obligatoire de donner à ses paroles pour se faire comprendre, c'est-à-dire, en y réfléchissant, pour ne pas se faire comprendre, parce que c’est tout de même assez comique et même complètement absurde d’être obligé de s’exprimer de façon cohérente quand ce que l’on éprouve est incohérent ( …) »