Dans une brochure publiée en 1829, le futur préfet de lyon, Bouvier-Dumolart, condamne les "erreurs" inspirées par la charité chrétienne, ces aumônes qui "sont le plus souvent une prime d'encouragement donnée à la fainéantise et à tous les vices qui lui servent de cortège".
L'aide à la vieillesse ? "Lorsque ses besoins ne sont que la conséquence nécessaire de ses vices et de son imprévoyance, elle est plus digne de blâme que de secours".