Claudia Boccato

Le tome 2 de Princesse Sara nous plonge dans la nouvelle vie de l’héroïne. Les auteurs ont assez de talent pour faire en sorte qu’on ressente de l’injustice en rapport au sort de Sara. Miss Minchin est véritablement mauvaise et on a hâte, du moins pour moi, que tout lui revienne dans la figure et qu’elle paie le prix de sa méchanceté. On découvre aussi avec peine ce qui devait être la réalité dans certaines maisons bourgeoises du XIXe siècle pour les gens de service. L’histoire vient encore nous chercher de belle manière et les dessins sont toujours aussi beaux. Une histoire qui se développe bien. Une lecture à continuer.

Ce livre clos le premier cycle de cette adaptation en bande dessinée

On termine donc le livre avec ce que l'on connait

Je suis d'autant plus pressée de voir ce qui va maintenant advenir de Sara car ici s'arrête ce que je connaissais de l'histoire

Je lirai donc très prochainement la suite

J'ai enchaîné directement les 2 premiers tomes de cette BD

J'ai eu plaisir de retrouver Sara et son triste destin.

Même si je connais l'histoire, le plaisir reste le même

Les dessins sont proches du dessin animé d'origine, j'ai retrouvé les personnages de mon enfance

Pas mal du tout!

J'arrive toujours autant à rentrer dans l'univers de la bande dessinée. Elle arrive vraiment à me transporter jusqu'en Russie, et les personnages me plaisent toujours autant. Je regrette juste un peu le côté "attendu" de ce tome et cliché à la "cendrillon" ou cosette. Mais on se doute bien que ce n'est qu'un passage... Hâte de lire la suite donc.

Un autre tome incroyable !

J'adore cette série, je trouve les dessins beaux, certaines planches sont sublimes.

Les personnages sont attachants, réalistes.

Un bande dessinée qui nous fait retomber en enfance, et qui nous offre une nouvelle histoire en même temps.

Les Mystères de la Troisième République semble s'insérer dans une oeuvre plus large, un concept de trois séries parallèles, traitant toutes les trois de mystères liés aux trois dernières républiques, et toutes scénarisées par Philippe Richelle.

Pour ce premier tome, le lecteur a droit à une enquête somme toute efficace, digne d'un bon Maigret pour les amateurs de polar français.

Scénario solide, graphisme plaisant … au final, ni déception, ni emballement, mais comme écrit plus haut, ce tome s’intègre dans une séries de trois fois cinq albums. À suivre donc.

Un quatrième tome très prenant ! Les illustrations sont toujours aussi magnifiques, et les personnages très attachants. On s'inquiète toujours du sort de Sara, et on a toujours envie de découvrir la suite de ses aventures. Un récit prenant et beau, que je ne peux que conseiller.

Un très chouette premier tome. J'ai vu le film plusieurs fois, et retrouver ces personnages et cette histoire est très chouette. Les personnages sont très attachants, les illustrations sont magnifiques, et l'histoire est toujours aussi prenante. Bref, une série de BD qui commence bien, et qui donne envie de lire la suite !

Ce quatrième album marque la fin du premier cycle, avec le dénouement que l'on attendait !

Sara, plus que jamais victime des brimades de Miss Minchin, est sauvée par un mystérieux bienfaiteur qui transforme sa mansarde en palais oriental ; tandis que ses voisins continuent à chercher dans tous les pensionnats de Londres celle qui se trouve en fait sous leurs yeux.

Dans cet album, les dessins sont toujours aussi somptueux, mais je l'ai trouvé un ton en dessous des précédents au niveau de l'histoire, peut-être parce que je m'attendais à ce que la fin soit plus réussie.

Ceci dit, ce n'est que la fin du premier cycle, et je suis impatiente de découvrir la suite de cette série qui va désormais prendre son envol indépendamment du livre de Frances H. Burnett.

Dans ce deuxième tome, les auteurs prennent un peu plus de liberté avec l’histoire originale, en intégrant dans le scénario des épisodes concernant les automates qui font ressortir le côté steampunk de la série.

Quant à Sara, elle subit avec courage les mauvais traitements que lui infligent miss Minchin, les domestiques et certaines élèves.

Heureusement qu’on connaît l’histoire et qu’on sait qu’elle se termine bien sinon ce second tome intitulé La princesse déchue serait un peu triste.

Encore une fois, l’Angleterre du XIXème siècle, des touches de Steampunk et une héroïne, et vous faites d’une Louve une lectrice comblée !

Je n’ai malheureusement jamais lu l’original et ne peux donc que me cantonner à ce que j’ai lu et vu dans cette adaptation (je suis une mauvaise élève et je le sais 😊 )

Je suis littéralement tombée en pamoison devant les illustrations et la fantasy de Nora Moretti, le tout forme un accord mets et vins subtil et enchanté !

Vous non plus vous ne connaissiez pas encore ?

Embarquez avec moi au pays des Live-doll , des domestiques robotisées , des pigeons-drônes voyageurs, …

Le pays de la princesse Sara où, entre richesse et pauvreté, le pas est mince mais tout aussi louable.

On pousse ensemble la porte du pensionnat ?

Ps : j’ai été fainéante, voici une critique pour 2 tomes, ne m’en voulez pas 😊

Premier tome assez intéressant pour me donner envie de lire la suite. Une histoire policière qui s'annonce être une enquête politique périlleuse. L'ambiance est très prenante, les dessins sont simples mais cela fonctionne très bien avec cette dernière. On pourrait se croire dans les années 30. À suivre !

Je poursuis ma lecture de la bande dessinée Princesse Sara avec toujours autant de plaisir.



Ce quatrième tome est l'occasion pour Sara d'enfin renouer avec sa fortune, et de se sortir enfin des griffes de Mme Minchin.



Sara apparaît toujours aussi positive, même inébranlable, peut être un chouia trop...



Il me tarde de découvrir ce qui l'attends dans les prochains tomes, maintenant qu'elle a quitté la pension.



Les dessins sont toujours aussi sublime, j'aime vraiment beaucoup l'ambiance de cette bande dessinée.



Dans ce tome les tenues de Sara étaient vraiment belles à tomber, il y a un très joli travail graphique sur les décors et les costumes des personnages.

C'est avec grand plaisir que je me suis plongée dans le tome 2 de Princesse Sara d'Audrey Alwett, Nora Moretti & Claudia Boccato, intitulé la princesse déchue.



Dans ce tome on suit Sara dans ses débuts de vie de servante au sein de la pension.



Miss Minchin ne se prive désormais plus de montrer sa haine envers la jeune fille et d'abuser de son pouvoir sur elle, quand à Lavina elle peut étaler toute sa méchanceté au grand jour envers son ancienne rivale, et les coups bas sont désormais quotidiens.



On découvre dans ce tome le personnage charmant de James, et île me tarde de voir comment l'histoire va évoluer dans le prochain tome.



Le dessin et l'ambiance sont toujours aussi plaisants, que ce soit les décors, les costumes, les visages et même les automates, tout est beau à regarder, c'est une jolie bande dessinée.

Je tiens un compte instagram sur lequel je publie mes chroniques : labibliothequedepam



Ce quatrième tome signe la fin du premier cycle centré sur les jeunes années de Sara au pensionnat de Miss Minchin. La petite princesse résiste aux tentatives d’intimidation de Miss Minchin ce que cette dernière ne peut supporter, je trouve que sa cruauté est encore plus démesurée que dans le dessin animé.



L’amitié entre Becky et Sara est vraiment très touchante, cette complicité fait chaud au cœur et la considération que Sara éprouve pour Becky à la fin du tome, lorsqu’elle retrouve sa fortune, achève de démontrer sa générosité, Becky méritait une meilleure vie et Sara la lui a offerte.



Je suis HYPER satisfaite que dans cette adaptation, Sara n’accorde aucun pardon à Miss Minchin (ce qui aurait été encore moins crédible que dans le dessin animé étant donné l’ampleur de sa cruauté), j’ai adoré que l’autrice reprenne la scène où Amelia dit ses 4 vérités à Miss Minchin. L’autrice a repris les moments phares du scénario original mais je regrette que la relation élève-professeur entre Sara et Monsieur Dufarge n’ait pas été abordée car elle m’avait beaucoup touchée dans le dessin animé. J’ai aussi beaucoup aimé le passage où on pointe du doigt les tourments qui assaillent Miss Minchin et qui expliquent la profonde jalousie qu’elle éprouve envers Sara. J’ai trouvé la fin de la BD un peu précipitée, dommage qu’on n’ait pas pu voir le moment où Miss Minchin apprend la nouvelle de la fortune retrouvée de Sara et même décuplée. De même, on ne sait pas ce qu’elle devient après avoir fait autant souffrir Sara, va-t-elle elle aussi connaître la déchéance ? Peut-être qu’on aura la réponse à cette question dans le cycle suivant !



En bref, un premier cycle largement à la hauteur qui complète à merveille le dessin animé, ça me donne encore plus envie de lire l’œuvre originale de Frances Hodgson Burnett !



Ma note : 19/20 !
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J’ai enfin lu le quatrième opus de Princesse Sara de Audrey Alwett, Nora Moretti et Claudia Bocatto. Ce tome clôture une partie de l’histoire avant d’entamer une nouvelle étape dans la vie de Sara.



Je ne vous résume pas l’histoire de cet opus, afin d’éviter tout spoiler. Si vous souhaitez en connaître plus sur le contexte de l’histoire, toutes les chroniques sont en lignes sur le blog.



Cet opus m’a redonné espoir. J’ai prié tout au long pour Sara, cette jeune fille touchante et forte ! Sa force de caractère est incroyable. Malgré la méchanceté de Miss Minchin, notre belle indienne ne se laisse pas abattre. Elle voit le positif de partout et cela est encourageant.



Sara nous offre une belle leçon de vie. Elle nous montre que malgré les difficultés de la vie, il y a toujours un moyen de s’en sortir et de faire ressortir le meilleur de nous-même !



Un tourbillon d’émotions m’a emporté tout au long de la lecture. J’ai eu envie de voir Miss Minchin payer pour sa méchanceté. Le désir de justice a pris le dessus. Les liens d’amitiés mis en avant sont extrêmement touchants.



Bref vous l’aurez compris : cet opus est encore un coup de cœur !
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Je poursuis ma lecture de cette fabuleuse adaptation en BD et je ne suis vraiment pas déçue ! Je trouve que le scénario explore davantage la psychologie des personnages qui n’est dévoilée qu’en surface dans le dessin animé, on cerne beaucoup mieux les différents comportements de chacun. Je trouve également cette adaptation beaucoup plus crédible, alors que Sarah est très passive dans le dessin animé (ce qui m’a toujours beaucoup agacée), elle a davantage de répondant dans cette BD et réagit à la cruauté exacerbée de Miss Minchin. En dépit des drames qu’elle subit, Sara conserve sa personnalité altruiste et généreuse. Les graphismes donnent encore une fois beaucoup plus de profondeur au scénario, offrent une seconde lecture qui renforcent les sentiments éprouvés par le lecteur.



Ce que j’apprécie le plus dans cette adaptation, c’est la touche personnelle apportée par l’autrice comme les illustratrices ! On a certes une adaptation mais qui ne suit pas à la lettre le récit de base et s’en démarque par quelques petits détails qui sont beaucoup plus appropriés ! Les camarades de Sara réagissent aussi beaucoup plus que dans le dessin animé face à sa détresse et j’ai beaucoup aimé l’intervention d’Ermengarde qui n’hésite pas à défendre son amie et à affronter Lavinia.



J’ai trouvé que ce second tome nous dévoilait beaucoup plus du mauvais traitement infligé à Sara ce qui ne laisse pas indifférent (tout comme le dessin animé). On découvre l’envers du décor du pensionnat avec ses domestiques et les corvées qui leur incombent. C’est une histoire triste qui donne à réfléchir et reflète bien une époque où beaucoup d’enfants vivaient dans la misère et la précarité, ce qui fait froid dans le dos d’autant que ces situations sont loin d’avoir disparu de nos sociétés.



Est-ce que vous avez lu ce deuxième tome, qu’en avez-vous pensé ?



Ma note : 20/20 !
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Ayant succombé au premier tome de Princesse Sara de Audrey Alwett, Nora Moretti et Claudia Bocatto, je n’ai pu qu’enchaîner avec le second.



J’ai été ravie de retrouver la petite Sara. Cette jeune fille ne se laisse pas abattre par les épreuves de la vie. Le courage et l’altruisme font partie intégrante de sa personnalité.



Suite aux évènements ayant lieux dans le premier opus, j’ai été triste de voir l’enchainement des rebondissements ayant suivis. Sara n’a droit à aucune accalmie et cela m’a profondément touché au vu de la situation.



Suite à cela, j’aurai pensé voir certains personnages s’entraider ! Mais pas du tout ! La plupart ne regarde pas plus loin que le bout de leur nez et agissent par pure jalousie jusqu’à en devenir maltraitant ! Nous voyons l’envers du décor du pensionnat, et les diverses tâches incombant aux domestiques. Je vous garantie que cela ne fait pas rêver et instaure un sentiment de révolte.



Heureusement, certaines scènes nous laissent espérer le mieux pour Sara. Cependant, la partie n’est pas gagnée. J’ai hâte de voir comment la situation va pouvoir progresser.



Ce deuxième tome est émouvant et toujours aussi agréable à admirer. Les graphismes sont d’une beauté qui ne laisse pas insensible ! Chaque émotion est reflétée !



J’ai hâte de découvrir la suite de l’histoire !


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La Troisième République est le cadre de cette série qui base son intrigue sur une affaire policière ayant des conséquences politiques. On est plutôt proche de la Seconde Guerre Mondiale et de l’avènement du régime de Vichy. Il aurait été sans doute souhaitable d’explorer le cœur de cette Troisième République qui dura tout de même 70 années. La phase choisie n’est sans doute pas la meilleure ou du moins la plus caractéristique. Le combat d’arrière-garde entre les monarchistes et les républicains aurait sans doute beaucoup plus attiré mon attention.



On a droit à une enquête classique dont les méandres vont s’étendre sur deux fronts. Les deux enquêteurs ont chacun un caractère et une psychologie propre. C’est classique dans le traitement mais on voit que Richelle semble beaucoup plus à l’aise. Cela se nomme les mystères de la Troisième République mais ce n’est que la toile de fond. Il est probable que le second tome nous rapproche un peu plus de cette thématique qui me semble tout de même assez éloigné.



Pour le reste et pour peu que l’on s’accroche entre les fausses pistes, on passe un bon moment de lecture. Cela reste une enquête policière rondement bien menée. On regrettera l’absence de cette fameuse Troisième République…

Les dessins sont toujours aussi magnifique. L’histoire prend une tournure triste mais l’héroïne montre son côte battante ! Hâte de lire la suite !