Au début, il n'y a que les yeux des amis de Javier qui cherchent, désorientés, quelque chose à regarder, parce qu'une minute passe lentement, comme sont lentes la vie et la mort, elle passe au pas ; une minute est un bruit de secondes, des couplets qui se succèdent et qui ne finissent jamais. Et pourtant elle se termine, l'arbitre siffle et alors ce que personne n'imaginait survient.