Copieux ouvrage d’une grande qualité de texte et d’image (Place des Victoires est une belle maison d’édition dans ce domaine) . Il fut acheté pour fixer un peu plus les souvenirs éblouis d’un séjour en Toscane et d’un autre à Florence même .Un moyen d’éviter les dégâts du « syndrome de Stendhal » , par lequel le trop plein de beauté vient oblitérer la mémoire.
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Ouf! Une histoire pas trop catholique des deux mille ans de l’église catholique romaine. En quelque 300 pages, l’auteur remet en perspectives les malversations de l’Église pour arriver à se perpétuer er à se maintenir parmi les grandes puissances du monde occidental au cours des deux derniers millénaires. Il n’est à peu près pas une époque qui échappe soit à la corruption, à la cupidité ou... à cupidon! On pense parfois que les malversations de l’Église sont le fait de personnages isolés mais l’auteur nous montre que c’est tout un système qui perdure depuis l'apôtre Pierre. L’Église catholique romaine a eu deux mille ans pour se rapprocher des pauvres mais elle semble avoir plutôt songé à s’enrichir à leurs dépens. On comprend mieux les difficultés d’aujourd’hui, les abus de pouvoir des siècles passés ayant conduit un grand nombre de croyants à rejeter en bloc le dogme de l’Église catholique, que ce soit au Québec, en Espagne, en Italie ou en France. Bien sûr l’auteur doit tourner les coins ronds pour résumer une telle saga en 300 pages mais il suscite notre curiosité au point où je me suis intéressé à visionner le film le Pourpre et le Noir (1984) ainsi que Padre Pio pour avoir davantage de détails sur deux périodes plus récentes. À lire absolument 8/10
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Le titre très accrocheur m'a attirer tout de suite et comme n'importe qui dans ce genre de situation, je l'ai pris. Livre très instructif sur les manigances du Vatican par rapport à l'argent, au sexe autant la pédophilie que les relations homosexuels, leur vrai avarice en ce qui concerne d'aider vraiment les pauvres par exemple: le monde pouvait acheté des pains pour les aider mais les prix de la farine était si chère que les boulangers ne pouvaient en faire que pour un certains nombres de gens bien nantis. mais ce qui ma surpris c'est les morts autant ceux perpétrer par le consentement de l'Église soit l'élimination des Juifs par les nazis sans compter les amérindiens et d'autres peuples qui auraient pu être sauvé comme le dit si bien Dieu dans sa miséricorde etc... Si en général, les gens ont des squelettes dans le placard ceux du Vatican serait un immense cimetière. Maintenant, lorsque j'irais à l'Église je penserais à ce que j'ai lu dans le livre de Claudio Rendina le seul bémol durant ma lecture fut la non chronologie des événements dans les chapitres qui ma un peu embâté.
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