Conséquence curieuse de ce totalitarisme : l’homme véritablement joyeux se reconnaît paradoxalement à ceci qu’il est incapable de préciser de quoi il est joyeux, de fournir le motif propre de sa satisfaction. Car il aurait sur ce point beaucoup trop de choses à dire en général, tout en ne trouvant rien à alléguer en particulier.
La force majeure, p. 8