Quand je ne serai plus, je ne veux pas qu’on dise : « Regardez les richesses qu’il a entassées, ses villes, ses palais et ses splendides atours. » [...] Je veux qu’on dise : « Assurons-nous qu’il est bien mort. C’était un vieil homme féroce et il a conquis la moitié du monde. »