j’ai peiné sans relâche, travaillé à perdre le souffle -
sans nulle voix grecque à mes côtés, si loin des rives
de Samos. C'est pourquoi je n'éprouve à présent
aucune frayeur, et je pars serein vers l'Hadès.
Là-bas, je trouverai mes compatriotes.
Et je pourrai désormais parler grec avec eux