Peut-être, dans cette nébuleuse rassurante, aurait-elle alors cru l’entendre marcher dans la maison. Peut-être se seraient-ils parlé dans sa tête. Peut-être n’y aurait-il rien eu du tout, qu’un vide tranquille, un no man’s land de la mémoire et des sensations. Mais la première disparition de Nico ne l’avait pas rendue folle. Elle lui avait simplement permis d’apprendre que la douleur n’a pas de limites…