J'observe avec bienveillance et espoir d'autres formes de mobilisation collectives et individuelles s'inventer. J'y contribue quand cela me semble sensé, et je suis de plus en plus persuadée que face à l'urgence des catastrophes en cours, il ne s'agit plus de froncer le nez : toutes les initiatives sont à encourager. Peut-être doivent-elles désormais être évaluées non plus uniquement à l'aune de leur efficacité future, mais aussi à celle de leur sincérité et de la dignité qu'elles apportent au présent.